Il y a quelques jours , j’ai eu grand plaisir à vous donner mon avis sur Joyeux suicide et bonne année.
Sophie de Villenoisy a pas mal de cordes à son arc et j’ai eu envie de mieux la connaître par le biais de quelques questions auxquelles elle a répondu avec beaucoup de gentillesse et de simplicité.
- Vous êtes chroniqueuse télé, actrice, écrivain , quel est le domaine dans lequel vous vous sentez le plus à l’aise ?
Je pense que j’avais besoin de passer par toutes ces étapes pour arriver à l’écriture « pure et dure ». J’ai toujours écrit, ce sont les formats et les supports qui changeaient. Aujourd’hui j’ai trouvé le bon avec l’écriture de roman.
- Si vous deviez vous décrire en trois mots ?
Petite (1m60), sensible et frondeuse.
- Quel est le lieu dans lequel vous vous sentez le plus à l’aise pour écrire ?
Chez moi, dans mon salon ou sur la petite table de la cuisine.
- Qu’est-ce qui vous a donné l’idée d’écrire Joyeux suicide et bonne année ?
J’ai rencontré une personne (âgée de 45 ans) qui m’a avouée s’être acheté sa propre concession funéraire. Ça m’a énormément troublé.
- Quels sont les auteurs qui vous inspirent ?
Je ne sais pas et je préfère ne pas y penser car ils m’impressionnent tous. J’aime énormément l’écriture de Virginie Despentes, même si nos styles n’ont rien à voir.
- Un autre projet de roman ? une suite à Joyeux suicide et bonne année ?
Pas de suite mais un second roman ( enfin 3ème puisque j’ai un roman jeunesse qui sort en mars chez Fleurus) : Question de standing qui sortira en mai 2017 chez Denoël. Rien à voir avec Joyeux suicide, plus mordant. En plus, je passe du « je » au « elle » un vrai challenge pour moi.
- D’autres projets ?
Oui, un roman graphique chez Glenat, une histoire bouleversante qui se passe à Kaboul, j’ai hâte de commencer ! (mais on cherche encore l’illustrateur)
- Pour cet été, mer, montagne ou campagne ?
Mer ! Dans le sud-ouest à Biarritz où je vais tous les ans. Mon mari surfe gracieusement tandis que je me fais ballotter assez lamentablement par les vagues, je n’ai aucune classe, je suis du genre à sortir de l’eau, du sable plein le maillot, et un bout de sein à l’air… L’anti surfeuse par excellence.
Merci à Sophie , maintenant nous la connaissons un peu mieux, en attendant mai 2017 pour son prochain roman.